Les carnets de Malikace

Je viens de parcourir le recueil de René Char "Le marteau sans maitre". Comme je me sens infime en lisant ces vers magnifiques. Des poèmes d'une concision milimétrés, des poèmes en prose, des inventaires rappelant Prévert et les Surrélistes Bref un recueil...

Les deux gredins de Roald Dalh : un conte amusant, mettant en scène deux méchants, sales et bêtes et des héros astucieux au grand coeur ... Une jolie histoire pour les enfants, ou ceux dont le coeur est resté dans l'enfance,à lire avec plaisir ...

Les pingouins n'ont jamais froid d'Andreï Kourkov La suite de l'inoubliable Le Pingouin . Le héros Victor revient d'Antartique et retrouve les péripéties aussi inattendues qu'iirésistibles, tout en tentant de retrouver Micha, son pingouin, qui a échoué...

Le soleil tombait en cascade Sur les feuilles d'un poirier Taches de lumière trouées d'ombre Qu'éveille le vent du nord Le soleil tombait en cascade Taches-léopards sur la pelouse Un papillon effrayé épouse L'odeur vagabonde d'une fleur Le soleil tombait...

Colére ! Dos vouté et griffes dehors, Un être difforme crache et se hérisse ! Instinct du jaguar surgissant dans le chat ! Tristesse Barbu et hirsute, Couleurs criades et voix rauque, Le barbican en cage râle et rote !

Un peu de Roald Dahl, avec ce receuil de nouvelles assassines où de gentilles et douces ménagères se révèlent être des meutrières froides et impitoyables. L'une assassine son époux avec un gigot qu'elle fera habillement disparaître sous les yeux des enqueteurs,...

Une autre lecture, dans un registre très différent. Revoilà un des mes, sinon mon, auteurs favoris : Arto Paasilina, avec ce roman toujours drôle et tendre à la fois : Petits suicides entre amis. Le lendemain de la Saint Jean, un homme, en faillite et...

Un récit de voyage, de Vivienne de Watteville, très rafraichiassant. Une jeune anglaise, Vivienne -puisque le récit semble fortement autobiographique- éprouve l'ardent désir de retourner en Afrique (où son père l'avait emmenéé enfant) mais son projet...

Un arpent d'Ecosse Des montagnes en bruyèresL'odeur du temps d'ApollinaireRevetue d'antiques légendes et de lointaines odesQui planent encore sur les etrre de MacLeod

Claudiquant comme quelques couinant kamikazes, Quand je les vois arriver, ô amants de la vase Qui quémandent quiétement quelques miettes, Gais comme des pinsons, je m'exclame : "Qu'ils sont chouettes Les canards ! qui se dandinent en gang de hasard !